Actualités, Manifestations

Une soirée qui va déménager !    

Edition N°19 – 15 mai 2024

Falesya propose explore des thèmes autour de la nature, de l’espace et de la condition humaine. (photo ldd)

Tôlier du crossover français, mêlant la rébellion du punk, l’énergie du hardcore et la puissance du trash, Black Bomb A écume les scènes depuis trente ans. La formation originaire des Yvelines a bâti son succès sur une recette d’une efficacité absolue : une section rythmique puissante et groovy, des riffs à décorner les bœufs, le tout chapeauté par deux chants étonnants, l’un raclant les tréfonds des abysses, tandis que l’autre frôle la crise d’hystérie. Black Bomb A, c’est aussi plus de 1000 concerts (dont deux prestations au Hellfest en 2012 et 2018) qui ont laissé exsangues des fans toujours plus nombreux. Le groupe, qui vient de sortir un huitième album intitulé « Unbuild the world » promet une véritable expérience live, tant le prodigieux échange d’énergie entre BBA et son public est monstrueusement communicatif. Line up : Arno et Poun au chant, Snake à la guitare, Jacou à la basse et RV à la batterie. 

Basé à Bienne, mais originaire du Tessin, Falesya propose un metalcore progressif, depuis 2016. Le jeune groupe commence son parcours par des reprises de groupes tels que Parkway Drive et Architects, qui restent les principales inspirations du groupe. 

Originellement, Falesya explore des thèmes autour de la nature, de l’espace et de la condition humaine. Dernièrement, suivant le contexte de pandémie mondiale, il s’est concentré sur des thématiques sociétales et d’isolation. Le groupe, formé de Nick et Ale à la guitare, Ste à la batterie, Julien à la basse et Phil au chant, a notamment tourné avec Despite Exit, Deez Nuts, The Royal et Our Mirage. Le band enregistre actuellement un EP de six pistes. Les Delémontains d’AOTB explorent, eux, un style à la frontière du djent et du deathcore. Le groupe, composé de Jonas Babey (chant), Lionel Gerber et Pablo Lagares (guitares), Nil Flückiger (basse) et Thomas Lachat (batterie), présente des morceaux alliant technicité, groove et puissance. 

Né en 2016 et à la suite de l’écriture des paroles du premier morceau, le groupe choisit de se nommer « Advent Of The Beast » (l’avènement de la bête), nom qui représente parfaitement ce que le band illustre au travers de sa musique. Par la suite, le groupe décide de simplifier son nom en ne gardant que les quatre premières lettres de « Advent Of The Beast » : AOTB. Au début de l’année 2019, AOTB commence à enregistrer son premier EP de quatre titres : « Mass Brainwashing », qui dénonce dans ses textes les problèmes de la société en général comme la guerre, l’endoctrinement des enfants dans certains pays ou encore la violence animale. 

Jouant quasiment à domicile, le groupe tavannois Henriette B a sorti son nouvel album, « The labor Slavery », en 2023. Le quintette de metalcore, formé de Nicolas Py au chant, Vincent Simonin et Gaëtan Tellenbach aux guitares, Fabien Voumard à la basse et Fabio Duro à la batterie, a déjà tourné en compagnie de groupes comme Pro-Pain, joué aux côtés de Caliban, Thy Art Is Murder et Carnifex, tout en se produisant dans des festivals tels que l’Impericon Festival. Le groupe offre une vision brutale, concentrée et mélodique du metalcore moderne. 

La musique d’Henriette B combine plusieurs styles et influences, qui s’unissent dans une instrumentation technique et viscérale.

(cp)

 Soirée metal, samedi 18 mai Salle Juventuti Tramelan. Ouverture des portes 20 h 30. Prix Fr. 20.- / 15.-. 

 

Falesya propose explore des thèmes autour de la nature, de l’espace et de la condition humaine. (photo ldd)