En guise de conclusion aux 11 samedis qu’elles et ils sont venus passer à St-Imier, la quarantaine de filles et garçons, âgé-e-s de 11 à 13 ans, ont reçu samedi 5 décembre leur attestation de participation au cours de robotique organisé par le ceff INDUSTRIE, en collaboration avec l’EPFL.
L’objectif du cours était de donner la possibilité à ces enfants d’explorer le monde de l’informatique et des technologies de communication de manière ludique, tout en apprenant la logique de programmation en valorisant leur travail. Depuis début septembre, les participant-e-s ont ainsi pu construire et programmer leur propre robot pour le faire parler, lui donner des émotions, le faire danser ou lui faire prendre des décisions. Elles et ils ont également appris à collaborer en petits groupes pour mener un projet à terme.
Cette expérience leur a permis d’acquérir de nouvelles connaissances et de recevoir des informations sur les filières scolaires, professionnelles et académiques en relation avec la robotique et l’informatique, leurs perspectives et leur utilité dans la société. Dans une ambiance un brin chamboulée en raison de la situation sanitaire, les journées de cours ont été animées par des apprenti-e-s issues des diverses filières du ceff INDUSTRIE.
Expérience renouvelée en 2021
Samedi dernier, avant de recevoir leur attestation, elles et ils ont reçu des messages de félicitations et d’encouragement de la part de Farnaz Moser, cheffe du Service de promotion des sciences (SPS) de l’EPFL, de Tino Cocco, directeur du ceff INDUSTRIE et de Pascal Gagnebin, coordinateur des activités de robotique au sein de l’établissement de formation professionnelle. Heureux d’avoir pu maintenir ces activités, les organisateurs de cette dernière journée remercient vivement les assistant-e-s du cours pour leur compétence et leur patience, les apprentis du département électronique en multimédia du ceff INDUSTRIE pour les photos et les vidéos, ainsi que leurs enseignants. Mis sur pied pour la 8e année, nul doute que ces cours seront remis sur pied en 2021, tout en souhaitant que les conditions sanitaires permettront le retour d’une certaine convivialité.
(cp)